Les licenciements ou les non-(ré)engagements professionnels frappent les enseignant.es « critiques », des salarié.es fiché.es « militants.es » et/ou « extrémistes » par la police. Les immigré.es, considéré.es comme subversifs, sont particulièrement visé.es par les officines patronales. Un fichage systématique touche une personne sur six en Suisse.